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Délires perso

3 juin 2007

Jeune fille ou vieille femme?

oldyoung

Tout dépend de l'interprétation ...

Quand j'étais petite, ma mère et ma soeur avaient un magasine dans lequel on pouvait voir cette image. J'ai toujours été intrigué par cette image a double sens ... et la symbolique de ce qu'elle représente est très significative. Pour moi, elle signifie que notre perception des choses dépend surtout de notre culture et de notre passé.

Ici les jeunes ont tendance à voir une jeune fille et les plus âgés une vieille femme. Avec un peu d'effort, vous pouvez passer de l'une à l'autre. La bouche de la vieille femme devient alors un collier délicatement posé sur le cou de la jeune, et le menton de la jeune devient le nez de la femme plus âgée ...

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30 mai 2007

Sexualité de la punaise des lits

De toute forme de sexualité animale, celle des punaises des lits (Cimex lectularius) est la plus stupéfiante. Nulle imagination humaine n’égale une telle perversion.

Première particularité : le priapisme. La punaise des lits copule énormément. Certains individus ont plus de 200 rapports par jour.

Deuxième particularité : l’homosexualité et la bestialité. Les punaises des lits ont du mal à distinguer leurs congénères et, parmi ces congénères, elles éprouvent encore plus de difficultés à reconnaître les mâles des femelles. 50 % de leurs rapports sont homosexuels, 20 % se produisent avec des animaux étrangers, 30 % enfin s’effectuent avec des femelles.

Troisième particularité : le pénis perforateur. Les punaises des lits sont équipées d’un long sexe à corne pointue. Au moyen de cet outil semblable à une seringue, les mâles percent es carapaces et injectent leur semence n’importe ou, dans la tête, le ventre, les pattes, le dos, et même le cœur de leur dame. L’opération n’affecte guère la santé des femelles, mais comment tomber enceint dans ces conditions ? D’où la…

Quatrième particularité : la vierge enceinte. De l’extérieur, son vagin paraît intact et, pourtant, elle a reçu un coup de pénis dans le dos. Comment les spermatozoïdes mâles vont alors survivre dans le sang ? En fait, la plupart seront détruits par le système immunitaire, tels de vulgaires microbes étrangers. Pour multiplier les chances qu’une centaine de ces gamètes mâles arrivent à destination, la quantité de sperme lâchée est phénoménale. A titre de comparaison, si les mâles punaises étaient dotés d’une taille humaine, ils expédieraient 30 litres de sperme à chaque éjaculation. Sur cette multitude, un tout petit nombre survivra. Cachés dans les recoins des artères, planqués dans les veines, ils attendront leur heure. La femelle passe l’hiver squattée par ces locataires clandestins. Au printemps, guidés par l’instinct, tous les spermatozoïdes de la tête, des pattes et du ventre se rejoignent autour des ovaires, les transpercent et s’y enfoncent. La suite du cycle se poursuivra sans problème aucun.

Cinquième particularité : Les femelles aux sexes multiples. A force de se faire perforer n’importe où par des mâles indélicats, les femelles punaises se retrouvent couvertes de cicatrices dessinant des fentes brunes cernées d’une zone claire, semblables à des cibles. On peut ainsi savoir précisément combien la femelle a connu d’accouplements. La nature a encouragé ses coquineries en engendrant d’étranges adaptations. Génération après génération, les mutations ont abouti à l’incroyable. Le filles punaises se sont mises à naître nanties de ces cibles brunes, auréolées de clair, sur leur dos. A chaque tache correspond un réceptacle, « sexe succursale » directement relié au sexe principal. Cette particularité existe aujourd’hui à tous les échelons de son développement : pas de cicatrice, quelque cicatrices réceptacles à la naissance, véritable vagins secondaires dans le dos.

Sixième particularité : l’autococufiage. Que se passe-t-il lorsqu’un mâle est perforé par un autre mâle ? Le sperme survit et fonce comme à son habitude vers la région des ovaires. N’en trouvant pas, il déferle sur les canaux déférents de son hôte et se mêle à ses spermatozoïdes autochtones. Résultat : lorsque le mâle passif percera, lui, une dame, il lui injectera ses propres spermatozoïdes mais aussi ceux du mâle avec lequel il aura entretenu des rapports homosexuels.

Septième particularité : l’hermaphrodisme. La nature n’en finit pas d’effectuer des expériences étranges sur ces étranges insectes. Les mâles punaises ont eux aussi mutés. En Afrique vit la punaise Afrocimex constrictus dont les mâles naissent avec de petits vagins secondaires dans le dos. Ceux-ci, cependant, ne sont pas féconds. Il semble qu’ils soient là à titre « décoratif » ou encore pour encourager les rapports homosexuels.

Huitième particularité : Le sexe-canon qui tire à distance. Certaines espèces de punaise tropicales, les Antochorides scolopelliens, en sont pourvues. La canal spermatique forme un gros tube épais, roulé en colimaçon, dans lequel le liquide séminal est comprimé. Le sperme est ensuite propulsé à grande vitesse par des muscles spéciaux qui l’expulsent hors du corps. Ainsi, lorsqu’un mâle aperçoit une femelle à quelques centimètres de lui, il vise de son pénis les cibles vagins dans le dos de la demoiselle. Le jet fend les airs. La puissance de ces tirs est telle que le sperme arrive à transpercer la carapace, plus fine à ces endroits.

Bernard WEBER

Encyclopédie du savoir relatif et absolu      

15 mars 2007

A table Dieudonné

Midi. Le roi Louis XIV s’installe devant sa petite  table carrée, dans sa chambre, face à la fenêtre. La foule des courtisans est accourue, elle n’a rien dans l’estomac, elle ! Elle va se nourrir du spectacle du monarque attrapant de ses mains prestes des viandes qui vont être portés à sa bouche avec une gourmandise gloutonne inégalable. Point de fourchettes, ça se passe comme ça chez Louis XIV ! Et pourtant, ce n’est pas de la restauration rapide : près de 400 personnes ont préparé le repas royal qui va être convoyé jusqu’à la table à grands renforts de fifres, de tambourins, de maîtres d’hôtel, de gentilshommes servants, d’écuyers, d’échansons …    

      

                                                         Louis_XIV_par_Lebrun

Et que mange le roi ? Retenez un instant votre souffle … Devant vous, le roi va manger – en partie, mais quand même !- du potage de tortue, de la bisque de pigeonneaux, du potage de mouton aux navets, de la queue de mouton aux figues, de la cuisse de chevreuil, du poulet d(inde à la framboise, du cochon à la dombe, du héron, du faisan, de la gelinotte, du dos de sanglier, du faon, de la tétine de vache, de l’oreille de cerfs, du foie de chevreuil, des beignets de moelle. Puis il reste le dessert : des confitures au parfum, des tourtes au musc, de la crème à l’ambre, des pralines.

Le roi mangera-t-il ce soir ? Bien sûr, à 18 heures : 12 pigeons, 3 chapons, 6 poulets, du veau, des poulardes, tout cela arrosé des vins les plus fins. Et presque tous les matins, Louis ce plaint d’avoir fait des cauchemars dans la nuit.

9 mars 2007

Le nombre d'or

Le nombre d’or est un rapport précis grâce auquel on peut construire, peindre, sculpter en enrichissant son œuvre d’une force cachée.

A partir de ce nombre on été construites les pyramides de Kéops, le temple de Salomon, le

Parthénon, et la plupart des églises romanes. Beaucoup de tableaux de la renaissance respectent aussi cette proportion. On dit que tout ce qui est bâti sans respecter quelque part cette proportion finit par s’effondrer.

On calcule le nombre d’or de la manière suivante : (1 + racine de 5) / 2

Soit environs 1.618033988

Tel est le secret millénaire. Ce nombre n’est pas qu’un pur produit de l’imagination humaine. Il se vérifie aussi dans la nature.  C’est par exemple le rapport d’écartement entre la feuille des arbres  afin d’éviter que, mutuellement, elles ne se fassent de l’ombre. C’est aussi le nombre qui définit l’emplacement du nombril par rapport à l’ensemble du corps humain.                                                      

Bernard WERBER                                                                                                                 egypte

                                                                                                 

Encyclopédie du savoir relatif et absolu.

9 mars 2007

Présentation

Bonjour et bienvenue sur mon blog.

Ici vous trouverez tout et n'importe quoi, de mes idées les plus folles aux réflexions les plus philosophiques (pas toujours très claires, et vous serez peut-être vite largués ...), mes coups de coeurs et mes coups de gueule...

Mais aussi tout les sujets qui me passionnent: anecdotes historiques (notament sur Louis XIV), phénomènes paranormaux, illusions d'optique ... et informations glanées ici et là...

Mon but est de partager avec vous les turpitudes de mon cerveau ...

Donc, qui m'aime me suive, et en avant la musique !!!

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